Kératodermie mécanique, kératodermie dynamique - 03/12/14


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Résumé |
Localisée sur une zone plantaire, la kératodermie dynamique se distingue des kératomes ponctuels liés à l'appui, au frottement articulaire ou à des pressions indéterminées. Au cours de la marche, les cellules kératinocytaires s'intriquent, glissent les unes sous les autres, forment des colonnes qui s'inclinent d'un côté ou d'un autre, mais restent en cohorte. La jonction dermoépidermique relie le derme et l'épiderme, facilite leur flexibilité durant le pas. Les lignes de Langer, ou dermatoglyphes, indiquent l'ancrage épidermique suivant des lignes parallèles, en creux, qui résistent aux tractions de l'épiderme, ce qui explique le plissement des couches superficielles entre les lignes de Langer, le tuilage épidermique. Le mécanisme se poursuit en trois temps : d'abord une crête épaisse et sèche, puis l'éperon et, lorsque le chorion est entraîné, le drapeau ou la languette. On constate le drapeau plutôt sur les orteils en supra- ou infraductus, la languette sous l'arcade antérieure d'un pied creux, l'éperon au niveau du rebord postérieur du talon. La peau plantaire porte les effets de la désaxation corporelle sur la statique du pied, entraînant une rotation dermoépidermique autour de l'axe d'une articulation. Le cor dynamique, synthèse ponctuelle de l'ensemble, présente un axe oblique.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Cor dynamique, Crête, Dermatoglyphe, Drapeau, Éperon, Kératodermie, Kératome, Langer, Languette, Tuilage
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